De nombreuses familles mauriciennes passent par des moments difficiles pendant la crise du COVID-19. Afin de les aider à se nourrir, le secteur Seafood d’IBL a distribué des poissons aux ONG et associations de quartier.

« C’est suite à l’appel d’une ONG locale que nous avons pris conscience de l’ampleur des besoins en termes de nourriture, explique Cougen Purseramen, COO du secteur Seafood d’IBL. Avec l’équipe des General Managers de nos entités, nous avons tout de suite trouver des moyens d’aider ceux dans le besoin. »

C’est ainsi que plus de 18 000 kg de poissons ont pu être réunis pour être transformés dans l’usine de Mer des Mascareignes, alors que Froid des Mascareignes s’est occupé de la logistique. « Tout ce poisson a pu être réuni grâce aux dons de certains de nos partenaires, comme la Sapmer et la flotte taïwanaise FCF, explique Maurice Rault, General Manager de Froid des Mascareignes. Nous avons aussi acheté nous-mêmes du poisson car nous nous sommes rendu compte du réel besoin pendant la distribution. »

De plus, compte-tenu de la diversité des nécessités des familles rencontrées, le secteur Seafood a fait une levée de fonds pour pouvoir préparer des « paniers solidaires ». L’argent récolté a permis de rassembler plus de 500 paniers qui sont en cours de distribution.

« Nous souhaitons faire plus à Mer des Mascareignes, explique son General Manager, Eric Tavian. Notre “petite” usine nous permet une grande flexibilité et notre équipe n’a pas hésité à produire des poissons spécifiquement destinés aux personnes dans le besoin. »

À ce jour, ce sont plus d’une vingtaine d’ONG et d’associations de quartier qui ont bénéficié de ces poissons. Les équipes du secteur Seafood d’IBL sont allées en distribuer elles-mêmes dans les quartiers autour des usines – Batterie Cassée, Pont Bruniquel, En bas la rivière, Roche Bois – mais aussi dans les quartiers de Baie du Tombeau – cité St Malo, Cité Florida, Longères.

« Il est important d’être solidaires dans ces moments difficiles où notre économie a été considérablement ralentie et où certains de nos frères et sœurs mauriciens ont besoin d’aide, conclut Cougen Purseramen. Nous avons décidé de prolonger notre soutien à ces communautés pendant quelques semaines encore, le temps que notre économie puisse redémarrer. »