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Le monde du travail en 2035 selon ChatGPT-4

Article publié dans le magazine du Groupe IBL, together n°6

Beaucoup s’interrogent sur le futur du travail avec l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) ChatGPT. together lui a, directement, posé la question : “Pourrais-tu écrire un article qui prédit le monde du travail en 2035 avec l’émergence des nouvelles technologies, type IA et métavers ? Le texte devra être rédigé dans le style d’un newsmagazine français et documenté avec des faits et des citations d’entrepreneurs, philosophes, programmeurs, techniciens, sociologues, psychologues ou d’autres universitaires qui se penchent sur la question. L’article doit faire 900 mots maximum.” L’article ci-dessous est la réponse de ChatGPT-4. Comme pour chaque article publié dans ce magazine, nous avons vérifié les informations énoncées dans ce texte. Certaines n’ont pu être confirmées. Néanmoins, nous avons fait le choix de publier l’article tel quel.

En 2035, le monde du travail pourrait être radicalement différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Les nouvelles technologies, notamment l’intelligence artificielle (IA) et le métaverse, révolutionnent notre façon de travailler et de collaborer. Les experts sont partagés quant aux conséquences pour l’emploi et la société. Certains, comme le philosophe français Michel Serres, évoquent un “nouveau contrat social” où l’homme et la machine cohabitent pour le meilleur. D’autres, à l’image du sociologue Zygmunt Bauman, craignent une “liquidation des emplois” au profit d’une automatisation déshumanisée. Dans cet article, nous explorons les principales tendances et interrogations liées à ce sujet passionnant.

Premièrement, l’IA est sans conteste l’un des principaux moteurs de transformation du marché de l’emploi. Les algorithmes, toujours plus performants, sont capables de traiter des quantités gigantesques de données, d’apprendre et de prendre des décisions en toute autonomie. Pour certains métiers, cela signifie un gain de temps et d’efficacité considérable. Dans le domaine de la médecine, par exemple, l’IA est déjà capable de détecter des anomalies sur des radiographies avec une précision supérieure à celle des médecins.

Selon une étude de McKinsey, 50 % des tâches actuelles pourraient être automatisées d’ici 2035. Pour Laurent Alexandre, entrepreneur et chirurgien français, il est essentiel de “former les jeunes aux métiers de demain” pour éviter un chômage de masse. Il appelle à “développer des compétences complémentaires à celles des machines, comme la créativité, l’empathie et le sens critique”.

L’essor du métaverse, cet espace virtuel partagé où les utilisateurs peuvent interagir avec d’autres personnes et des objets, impacte également le monde du travail. Le métaverse, popularisé par des entreprises comme Facebook (devenu Meta en 2021) et Epic Games, ouvre de nouvelles perspectives en termes de communication et de collaboration à distance. “Le métaverse réinvente la manière dont nous travaillons ensemble, en brisant les barrières géographiques et en créant de nouvelles opportunités économiques”, explique Tim Sweeney, fondateur d’Epic Games.

Les entreprises pourraient ainsi se tourner massivement vers le télétravail, avec des bureaux virtuels dans le métaverse. Cela entraînerait une réduction des coûts immobiliers et des déplacements, ainsi qu’une plus grande flexibilité pour les employés. Toutefois, certains experts, comme la psychologue Sherry Turkle, mettent en garde contre les risques liés à cette dématérialisation du travail : “Le métaverse peut renforcer l’isolement social et accroître la dépendance à la technologie, au détriment du bien-être des travailleurs.”

Dans ce contexte de transformation profonde, l’avenir des emplois est incertain. L’automatisation pourrait rendre obsolètes de nombreux métiers, tandis que d’autres pourraient émerger. Selon une étude du World Economic Forum, 65 % des enfants qui entrent aujourd’hui à l’école primaire exerceront des métiers qui n’existent pas encore.

Rifkin prédit l’avènement d’une “société post-capitaliste” où les individus se consacreraient à des activités créatives et
coopératives

Face à ces bouleversements, les gouvernements devront s’adapter et mettre en place des politiques publiques adéquates. Parmi les solutions envisagées figurent la formation continue pour favoriser l’employabilité des travailleurs, le soutien à la création d’emplois dans les secteurs en croissance (comme les énergies renouvelables, la biotechnologie ou l’IA), et la mise en place d’un revenu universel pour garantir un niveau de vie décent à tous.

Dans ce contexte, la question de la place de l’homme dans le monde du travail est cruciale. Comment garantir une coexistence harmonieuse entre l’homme et la machine ? Le philosophe Bernard Stiegler propose de repenser notre rapport au travail et à la technologie : “Il faut passer d’une économie de la croissance à une économie de la contribution, où chacun apporte sa pierre à l’édifice en fonction de ses compétences et de ses aspirations.”

En conclusion, le monde du travail en 2035 s’annonce méconnaissable, façonné par les progrès de l’IA et l’essor du métaverse. Si ces technologies offrent des opportunités extraordinaires, elles soulèvent également des défis majeurs en termes d’emploi, d’éducation et de cohésion sociale. Les décisions prises aujourd’hui, par les individus, les entreprises et les gouvernements, seront déterminantes pour garantir un avenir où l’homme et la machine cohabitent harmonieusement, au service d’une société plus juste et plus épanouissante.

Les images de cet article ont été générées par Midjourney avec les mots-clés : man using ChatGPT, vibrant colours, avant-garde art by Yoh Nagao

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